Voilà aujourd’hui il faisait beau, on a sorti le petit et demandé a une personne sympathique mais pas très douée de nous prendre en photo dans le petit train, résultat : une vidéo de 5 secondes. Mais au lieu de la jeter j’ai utilisé VLC pour en extraire des photos.
La procédure n’est pas compliquée :
Voilà, plus de détail sur ce billet de blog en anglais.
Voilà les asperges sont entrées dans nos habitudes culinaires.
Je cherchais une recette rapide qui m’éviterait deux cuissons et j’ai trouvé cette petite recette sur marmiton d’asperges à la coppa.
Pour tester des équipements interfacés au PC via des liaisons série RS232 sur laquelle transitent des données ‘binaires’ (non ASCII), putty montre ses limites, tera-term peut apporter une réponse à condition de maîtriser la syntaxe du script, mais sans avoir pour autant de « visuel ».
On peut toujours se coder quelques routines en python, ce qui aurait l’intérêt d’avoir un code portable, mais qui ensuite de l’enregistrement des trames échangés ? Des simulations d’erreur ?
realterm répond à ce besoin. Sur sparkfun il est bien présenté, ainsi que les autres outils, je vous conseille donc la lecture de leur tutoriel.
Sur les cartes d’évaluation on dispose d’une sonde debug SWD pour flasher la carte avec un fichier ELF.
Mais pour flasher par d’autre méthodes (ex : STLink Utility) il est nécessaire de générer notre binaire dans un autre format.
La solution que j’ai trouvé dans un forum est d’ajouter un « post-build step » pour générer les fichiers dans d’autres formats avec l’outil objcopy
Les étapes :
arm-atollic-eabi-objcopy -O ihex ${BuildArtifactFileName} ${BuildArtifactFileBaseName}.hex; arm-atollic-eabi-objcopy -O binary ${BuildArtifactFileName} ${BuildArtifactFileBaseName}.bin
Avec cette commande on génère un binaire HEX et BIN (pour mbed par exemple)
J’utilise un scope USB fabriqué par dreamsourcelab, un projet lancé sous kickstarter.
L’installation sous windows 10 préconise de désactiver la signature renforcée lors de l’installation des drivers.
En effet si ce n’est pas fait le driver du scope n’est pas installé.
Il faut donc suivre une des démarches proposée par leur wiki ou ici, que je trouve plus clair.
Au passage, pas de problème si vous avez déjà installé le soft DSView, il suffit de relancer le binaire ‘dpinst-amd64.exe’ installé dans le répertoire ‘Drivers’ de l’installation DSview.
J’ai tenté la première option mais elle ne fonctionne, pas l’installation du driver échoue quand même.
Pour l’option 2, la commande ‘shutdown’ ne redémarrait pas le PC.
J’ai cherché ailleurs et cette vidéo m’a donnée une piste. Je la poste parce que vous avez petu-être la même interface que lui mais de mon côté la combinaison « win+I » faisait apparaître la dialogue « paramètres », sans bouton redémarrer.
Pour ce faire donc :
Ca y’est on accède enfin à notre écran bleu, après il suffit reprend le billet de blog pour la succession d’option et redémarrer le PC avec la désactivation de la signature des pilotes renforcée.
J’utilise un disque dur externe sur mon port eSATA plutôt que l’USB, parce qu’il s’agit d’une machine qui commence à dater et l’USB3 n’est disponible. Le port eSATA permet d’obtenir de bonnes performances sur les accès disques.
Seulement sous Windows 10 le disque n’était pas reconnu, il fonctionne en USB en étant alimenté par l’USB. Et bien sur pas moyen de trouver une alimentation direct avec le bon jack.
Finalement en cherchant un peu j’ai trouvé la solution dans la communauté microsoft que je résume ci-dessous :
– Lancer le « gestionnaire de périphériques »
– cliquer sur l’icône « rechercher les modifications sur le matériel »
Windows affiche aussitôt le disque connecté !
C’est drôle sous Linux j’avais aussi un problème de reconnaissance automatique de mon disque.
Bien que nos petits blog n’aient pas une grande importance, nous ne sommes pas à l’abri d’un acte gratuit visant à nous ‘donner une leçon’.
La leçon devient cuisante quand on n’a aucune sauvegarde de notre site (j’ai, mais où :/ ?)
Souvent ça passe sur un accès ‘admin’ trop fragile, non sécurisé (pas défaut chez free)…
Voilà un billet intéressant de chez wpbeginner qui propose 10 méthodes de sécurisation de l’accès à l’administration de votre site.
A faire, en tester une, et rapidement !
Dernièrement nous sommes passé à chez OVH, avec un compte exchange pour les mails/contacts/calendrier.
si OVH propose un paramétrage de synchronisation avec le compte mail IMAP, pour le reste c’est carton rouge !
Je n’ai trouvé aucun plugin capable de se synchroniser avec OWA, seulement EWS (je ne sais pas ce que c’est en fait ;), je sais seulement que c’est la distinction à faire).
Et finalement j’ai trouvé un outil java (donc multi-plateforme) qui propose de jouer la passerelle OWA vers calDav et annuaire LDAP. c’est DavMail !
Un billet de blog détaille son installation et paramétrage, merci à docGreeen.
bon il me semble qu’il y a quelques limitation : on ne peut lister le contenu de l’annuaire LDAP, seulement faire une recherche.
Concernant les agendas, je ne sais comment afficher les agendas partagés.
Suite à l’installation de gitlab sur un serveur, j’ai paramétré la sauvegarde sur un point de montage sur un partage SAMBA, sans gestion de domaine, ou quelconque partage d’utilisateur.
Et la c’est le début des galères car je ne pouvais définir un point de montage avec owner ‘git’ car d’autres process s’exécutent sur ce répertoire. En conséquence ‘gitlab-rake’, qui crée ses fichiers avec droit uniquement pour le owner, plantait toujours avec un ‘permission denied’.
Le problème commence ici :
le point de montage est définit comme suivant dans le fstab :
Le montage est tel que tous les fichiers crées appartiendront à val1.val2. En effet l’uid et le gid seront forcés. Je n’ai pas trouvé comment permettre une négociation et cela me semble impossible comme les utilisateurs systèmes sur chaque machine ne correspondent pas.
J’ai cherché des réponses :
dans le man de mount.cifs
dans la gestion des acls
dans cet article assez complet sur samba
en essayant umask
Mais en vain !
Et finalement j’ai simplement crée deux points de montage, avec des uids différents !
note : ne pas oublier de sauvegarder la configuration comme recommandé pour compléter la sauvegarde.
En C par défaut la locale est « C » (implémentation portable) : cela implique que les nombres à décimal utilisent le séparateur ‘.’. Cela ne pose en général pas de problème, car le développeur à l’habitude de coder ses nombres avec ce séparateur.
C’est plus problématique dans certaines situations : lorsque le programme exporte des fichiers de mesures au format CSV pour exploitation sous Excel. Les nombres ne sont pas reconnus à moins de paramétrer une locale différente.
Une solution est donc d’utiliser l’API locale.h disponible depuis C89 (selon mon manpage).
Le code que je propose est tiré d’un billet stackoverflow.
Il est volontairement limité à la modification du format d’affichage des nombres, mais la consultation du manpage détaille la possibilité d’un impact élargi aux expressions régulières, nombres monétaires,…
#include
#include
int main()
{
float f = 12345.67;
// obtain the existing locale name for numbers
char *oldLocale = setlocale(LC_NUMERIC, NULL);
// inherit locale from environment
setlocale(LC_NUMERIC, "");
// print number
printf("%'.2f\n", f);
// set the locale back
setlocale(LC_NUMERIC, oldLocale);
}
